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Communiqué de Presse - Goodwill Human

Boisney le 06 octobre 2024

Objet : Goodwill Human dénonce la réactivation injuste d’une notice rouge d’Interpol contre Paul Watson et l’arrestation orchestrée par le Japon avec la complicité du Danemark.

Goodwill Human, une organisation internationale de défense des droits humains, exprime sa profonde inquiétude et son indignation face à l’arrestation de Paul Watson, fondateur de la Sea Shepherd Conservation Society, suite à la réactivation soudaine d'une notice rouge d'Interpol.

Goodwill Human dénonce une collaboration douteuse entre Interpol, le Japon et le Danemark, qui pourrait avoir servi des intérêts politiques sous couvert de justice internationale.

Paul Watson, défenseur des océans reconnu internationalement, est depuis longtemps la cible de poursuites motivées par des raisons politiques en raison de son activisme contre la chasse illégale des baleines et d'autres pratiques destructrices de la faune marine.

Après avoir vu la notice rouge à son encontre retirée pendant plusieurs années, Paul Watson a récemment été arrêté en Europe à la suite de la réactivation de cette notice par Interpol à la demande du Japon.

Une réactivation suspecte et politiquement motivée

Cette réactivation soudaine de la notice rouge, juste avant son arrestation, laisse place à des soupçons sérieux concernant un possible abus du système d'Interpol pour des fins politiques. La notice rouge est censée être un outil de coopération internationale pour l'arrestation de criminels dangereux, et non pour la persécution de militants écologistes engagés dans la protection de l’environnement.

« Paul Watson n’est pas un criminel. C’est un défenseur de la planète qui a risqué sa vie pour protéger nos océans », déclare Gilles Matta, président de Goodwill Human. « Nous sommes profondément préoccupés par la manière dont le Japon utilise les instruments internationaux, comme Interpol, pour faire taire un activiste qui a mis en lumière leurs pratiques écologiquement destructrices. »

• Une complicité troublante du Danemark

Le rôle du Danemark dans cette affaire est également source de préoccupation. Alors que le Danemark est censé être un État engagé dans la défense des droits humains, sa volonté apparente de faciliter l’extradition de Paul Watson vers le Japon soulève des questions quant à une éventuelle collaboration complice.

Goodwill Human appelle le gouvernement danois à respecter ses obligations internationales et à rejeter toute procédure d'extradition.

Violation des droits humains fondamentaux.

Goodwill Human souligne que l'extradition de Paul Watson vers le Japon violerait ses droits humains fondamentaux. Paul Watson risque non seulement un procès inéquitable, mais aussi des conditions de détention inhumaines. Le Japon est connu pour son système judiciaire sévère, avec un taux de condamnation proche de 99 %, ce qui laisse peu d'espoir pour une défense juste et impartiale.

Paul Watson : L’extrême menace d’une extradition orchestrée par le Japon, avec la complicité du Danemark.

Paul Watson, le célèbre écologiste et fondateur de la Sea Shepherd Conservation Society, se trouve aujourd'hui au cœur d'une affaire judiciaire et politique qui pourrait sceller son destin. Alors que le Japon réclame son extradition pour des accusations liées à ses actions contre la pêche illégale, le Danemark, autrefois réputé pour son engagement en faveur des droits humains, semble avoir cédé à des pressions diplomatiques, devenant complice d’un acte qui pourrait mettre en danger la vie d'un homme.

Cette affaire dépasse le simple cadre d’une procédure judiciaire. Elle révèle une alliance inquiétante entre deux États, où les enjeux politiques et économiques l’emportent sur les principes fondamentaux de la justice et de la protection des droits humains.

Aujourd'hui, Paul Watson, figure emblématique de la protection des océans, risque une extradition au Japon, où il pourrait subir des traitements inhumains et un procès biaisé, orchestré pour punir ses années de combat pour la préservation de la faune marine.

Une bataille judiciaire aux enjeux politiques.

Le Japon a longtemps été la cible des actions de Paul Watson et de la Sea Shepherd Conservation Society. Ses campagnes contre la chasse à la baleine, menée sous couvert de "recherches scientifiques", ont mis en lumière des pratiques controversées de pêche dans les eaux de l'Antarctique, violant souvent les lois internationales sur la conservation des espèces menacées.

Pour le Japon, Paul Watson n’est pas seulement un activiste. Il est devenu une figure à abattre. Le pays a intensifié ses efforts pour le faire extrader et le juger, non pour des infractions de droit commun, mais bien pour ses activités de lutte contre la destruction des écosystèmes marins. Derrière les accusations de "délit", il est clair que les motivations japonaises sont avant tout politiques.

La complicité silencieuse du Danemark.

Le rôle du Danemark dans cette affaire soulève de sérieuses interrogations.

Alors que Paul Watson est actuellement détenu en Europe, le Danemark, un pays pourtant lié par des conventions internationales en matière de droits humains, semble avoir cédé aux pressions du Japon en envisageant de faciliter l'extradition.

Cette attitude va à l’encontre des principes fondamentaux des droits humains que le Danemark prétend défendre. En effet, extrader Paul Watson vers le Japon reviendrait à fermer les yeux sur les risques évidents de mauvais traitements et de persécution politique qu’il encourt.

En laissant la procédure d'extradition progresser, le Danemark se rend complice d'une chasse politique orchestrée par le Japon contre un homme dont le seul "crime" est d'avoir osé dénoncer des pratiques écologiquement destructrices.

Un procès inéquitable garanti au Japon.

Les accusations portées contre Paul Watson au Japon, bien qu’habillées sous l’apparence d’une légitimité judiciaire, révèlent en réalité des motivations politiques profondes. En tant que militant écologiste, Paul Watson a mis en péril des intérêts économiques majeurs liés à l'industrie de la pêche au Japon, qui reste l'une des plus importantes du monde.

Une affaire qui dépasse le cadre judiciaire : la persécution des défenseurs de l’environnement.

Ce cas met en lumière un phénomène de plus en plus préoccupant : la persécution des militants écologistes à travers le monde. Paul Watson, en tant que défenseur des océans, incarne cette nouvelle génération de militants que les gouvernements et les multinationales cherchent à faire taire, parfois par tous les moyens possibles, y compris l'usage de la machine judiciaire.

Le Japon, par le biais de cette procédure d'extradition, envoie un message clair : ceux qui s'opposent à ses pratiques économiques, même si elles violent les lois environnementales internationales, risquent d'être traqués, détenus et jugés sévèrement. Et le fait que le Danemark participe, même indirectement, à cette manœuvre, aggrave encore la situation.

Le silence coupable des gouvernements européens.

Le rôle passif de certains gouvernements européens dans cette affaire soulève des questions quant à leur engagement véritable en faveur des droits humains et de la protection des défenseurs de l’environnement. L’extradition de Paul Watson vers le Japon constituerait une violation flagrante des principes établis par la Convention européenne des droits de l’homme, notamment en ce qui concerne la protection contre la torture et les traitements inhumains ou dégradants (Article 3) et le droit à un procès équitable (Article 6).

Les gouvernements européens, y compris le Danemark, ont une obligation légale et morale de refuser l'extradition de Paul Watson.

Ils doivent s’opposer à cette procédure, non seulement pour protéger un homme, mais aussi pour défendre les principes mêmes de la justice et des droits humains que l’Europe prétend incarner.

Appel à l’action internationale

Face à cette situation critique, Goodwill Human  appelle la communauté internationale, les défenseurs des droits humains et environnementaux, ainsi que les médias, à se mobiliser pour dénoncer cette injustice flagrante.

Nous exigeons d'Interpol qu'elle examine de manière indépendante la réactivation de la notice rouge contre Paul Watson et nous demandons au Danemark de suspendre immédiatement toute procédure d'extradition.

« L’avenir de Paul Watson est en jeu, mais cette affaire concerne également l’avenir de tous les militants écologistes dans le monde. Si nous laissons des États utiliser des institutions internationales pour poursuivre ceux qui se battent pour la planète, nous ouvrons la porte à de nouvelles persécutions à l'échelle mondiale », conclut Gilles Matta.

Goodwill Human rappelle que la justice internationale ne doit jamais servir d'instrument de persécution politique.

Nous restons aux côtés de Paul Watson et de tous les défenseurs de la planète, et nous continuerons de lutter pour la protection des droits humains et de l'environnement.

Gilles Matta Président de Goodwill Human

Communiqué de Goodwill Human : Absence de réponse du Japon concernant Paul Watson

L'ONG Goodwill Human , sous la direction de son président Gilles Matta, continue de soutenir les efforts mondiaux en faveur de la libération de Paul Watson, défenseur emblématique de la protection des océans et fondateur de Sea Shepherd.

Dans le cadre de notre engagement pour la préservation de l'environnement et contre la destruction des écosystèmes marins, nous avons récemment envoyé un courrier recommandé à l'Empereur du Japon. Ce courrier exprimait notre soutien à Paul Watson et appelait les autorités japonaises à reconsidérer leur position à son égard.

Cependant, à notre grande déception, ce courrier nous a été retourné sans réponse.

Cette absence de réponse symbolise les obstacles que rencontrent les ONG lorsqu'elles tentent d'engager un dialogue avec certaines instances gouvernementales sur des sujets aussi sensibles que la conservation des océans.

Malgré ce silence, Goodwill Human reste déterminé à poursuivre son action pour la défense de l'environnement et la protection des défenseurs de cette cause, tels que Paul Watson.

Nous appelons la communauté internationale à se mobiliser et à faire pression pour la libération de Paul Watson, dont l'engagement sans faille en faveur des océans mérite soutien et reconnaissance.

Nous avons récemment écrit à Paul Watson, actuellement en prison, et il vient de nous répondre.

Dans sa lettre, il explique que le Danemark refuse de prendre en compte les preuves de son innocence. la cour invoque des blessures prétendument infligées à un membre d'équipage japonais – des accusations qu'il réfute en bloc .

Lamya Essemlali, présidente de Sea Shepherd France, fait tout son possible pour sortir de cette crise politique et judicaire . Malgré ses efforts acharnés, la situation reste complexe.

Pendant ce temps, le Japon continue de tuer des baleines, en violation flagrante du moratoire international sur la chasse à ces mammifères marins. Paul Watson dénonce l'hypocrisie de la situation : tandis qu'il est emprisonné pour des accusations infondées, les véritables crimes contre la vie marine restent impunis.

Paul Watson, fondateur de Sea Shepherd et fervent défenseur de la faune marine, risque actuellement 15 ans de prison. Pour cet homme de 73 ans, ce serait presque une condamnation à mort, d'autant plus que les conditions de détention, tant physiques que psychologiques, au Japon sont souvent jugées inhumaines.

Ce silence autour de son cas est troublant. Où sont les voix des écologistes, des militants, des responsables politiques, et de toutes les personnes qui se disent indignées face à la destruction de notre environnement ? Paul Watson a sacrifié sa vie pour protéger les océans et leurs habitants. Ses actions courageuses, bien que souvent controversées, étaient toujours motivées par la volonté de sauvegarder la biodiversité.

Face à cette menace d'incarcération, il semble que ceux qui prônent la préservation de la planète soient trop silencieux. Il est crucial que l'attention se tourne à nouveau vers cet homme et ce qu'il a accompli. Le combat pour la planète ne peut se faire en tournant le dos à ceux qui se sont battus pour elle .

Soutenir Paul Watson est essentiel pour ceux qui se soucient de la protection de la faune marine et de la planète.

Gilles  Matta  président de Goodwill Human

Retrouvez nous le samedi 11 novembre 2023  place Foch marché couvert de Pont-l'évêque  pour la dernière foire a tout  de l'année .

Organisation Goodwill Human  avec la participation de l'amicale

des donneurs de sang .

Le 21.22.23 juillet 2023 Retrouvez nous place du cinéma le Concorde à Pont Lévêque pour déguster nos crêpes. Tous les bénéfices seront versés à notre association pour notre 3ème convoi.

Monsieur Dubois , Au nom de la famille ukrainienne (bénéficiaire) et de notre association , nous manifestons notre plus profonde gratitude pour votre don et votre acte de bonté en offrant le véhicule Peugeot Partner. Votre geste a eu un impact considérable sur leur vie et leur a apporté un soulagement immense.

Grâce à votre don, cette famille ukrainienne a désormais accès à un moyen de transport fiable et sécurisé, ce qui leur permettra de se déplacer plus facilement et de répondre à leurs besoins quotidiens. Que ce soit pour les déplacements pour les courses ou les rendez-vous médicaux, votre voiture est une valeur inestimable pour eux

Amicalement

Gilles Matta Président